Il avait été mis en examen en 2018 pour corruption d’agent public étranger, abus de confiance et complicité de faux et usage de faux dans l’enquête sur l’obtention en 2011 de la gestion des ports de Conakry et de Lomé.
Havas, l’agence de communication de Bolloré, était soupçonnée d’avoir sous-facturé ses services rendus aux candidats Alpha Condé en 2010 (170.000 euros) et Faure Gnassingbé du Togo (300.000 euros). Jeudi dernier, la procédure engagée contre le patron du groupe Bolloré a été annulée.
La décision judiciaire a consacré la fin des poursuites sur le cas du terminal à conteneurs de Conakry. Toutefois, Bolloré reste poursuivi dans celui du Togo.