En 2018, sous la ministre Assiatou Baldé exactement, des missions d’inspection faisaient le tour de la ville de Conakry. Elles évaluaient la mi-se en œuvre des recommandations faites par les techniciens de l’environnement et ceux du ministère de l’industrie portant sur la réduction de l’impact des envolées de poussière dues à la production du ci-ment par les sociétés de Diamond Cement et Ciment de Guinée (CDG) sur les habitations environnantes de la zone industrielle de Kagbélen.
Pour-quoi ce silence ? Pour quelles raisons l’Etat ne prend plus de mesures pour atténuer progressivement l’impact de l’agression de l’environnement sur la santé publique et ne s’intéresse plus à trouver les moyens de concilier le développement à la protection de l’environnement ?
Pour quelles raisons garde-on le silence autour des usines de ciments qui cohabitent avec une usine de farine à Kagbélen ?
Par Le Populaire