La veille de la célébration de la Journée internationale du travail, le ministre du Travail et de la Fonction Publique, M. Faya François Bourouno a été félicité pour l’innovation qu’il apporte à l’événement 2024 à travers l’organisation pour la première fois de l’histoire de la Guinée d’un panel de haut niveau axé sur les défis à relever afin de créer un environnement de travail décent pour tous.
Comme on le voit sur cette photo, le trophée lui a été remis , le 30 avril 2024, par le syndicaliste Mamadou Dilé Diallo, représentant les travailleurs de Guinée et le Vice-président de la CGE-GUI (Confédération générale des entreprises de Guinée) en charge de la gouvernance Elhadj Hann Mohamed Habib (au micro).
Bonne gouvernance
Le satisfecit qui en fait foi est quant à lui signé du Premier ministre, M. Bah Oury. A la veille de la fête du travail, une conférence de haut niveau enrichie par des panels de discussion a eu lieu à l’hôtel Kaloum. Elle réunit des anciens ministres, des experts, des représentants de tous les secteurs professionnels autour des défis de l’emploi et de l’employabilié, des normes du travail et de la protection sociale, de la problématique du dialogue et du contenu local.
«Notre objectif est de promouvoir le travail décent, essentiel à la bonne gouvernance dans le monde professionnel », affirme le ministre Bourouno qui vient de réussir son pari. En effet, le thème « Amélioration des relations de travail en période de transition » est bien d’actualité. Les représentants du mouvement syndical et le patronat ont salué la tenue d’une journée porte ouverte à la veille de la fête.
En remettant le prix au ministre Bourouno, le Vice-président de la Confédération générale des entreprises de Guinée a salué l’innovation apportée en mettant autour de la table les acteurs concernés directement par le dialogue social et le développement économique de la Guinée. M. Hann a rendu un hommage à ce travail patriotique hautement apprécié par les participants sous le leadership du chef de l’Etat, le général Mamadi Doumbouya.
Par Ahmed Cissé
