«Il est temps que l’Etat guinéen élève le ton parce que je ne sais pas ce que la Francophonie cherche à faire en Guinée». Ainsi s’exprimait Salifou kébé, président de la Ceni, lorsque que les experts de l’Organisation internationale de la francophonie (Oif) ont mis en doute le fichier d’enrôlement électoral.
Par Le Populaire