Depuis la sortie médiatique du représentant de la Francophonie qui a confirmé que la date des législatives est intenable le 28 décembre 2019, le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) est comme reclus à s’occuper désormais des tâches secondaires. C’est sans doute ce qui se confirme dans les consignes qu’il fait aux chefs de missions et équipes de supervision des opérations d’installation des démembrements de la Ceni, auxquels il dit adresser ses félicitations pour leur professionnalisme. Alors que ceux-ci sont conscients de leur devoir de remonter les statistiques. Et comme par le passé, ne badinent pas avec le paiement de leurs primes.
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